Ïüåð äå Ðîíñàð (Pierre de Ronsard) (1524-1585) ôðàíöóçñêèé ïîýò

Ñòèõîòâîðåíèÿ íà ôðàíöóçñêîì ÿçûêå ñ ïåðåâîäàìè íà äðóãèå ÿçûêè - À la Fontaine Bellerie
- À Madame Marguerite
- À sa guiterre
- « A ton frere Paris tu sembles en beauté »
- « Aelés Démons qui tenés de la terre »
- « Amour Amour, donne moy paix ou treve »
- « Amour, si plus ma fievre se renforce »
- « Ange divin, qui mes plaïes embâme' »
- « Apres ton cours je ne haste mes pas »
- « Aveques moi pleurer vous devriés bien »
- « Bien que ton trait, Amour, soit rigoureus »
- Bonjour mon Coeur
- « Ce petit chien, qui ma maitresse suit »
- « Celle qui est de mes yeus adorée »
- « Celui qui fit le monde façonné »
- « Celuy qui boit, comme a chanté Nicandre »
- « Cent & cent fois penser un penser mesme »
- « Ces deus yeus bruns, deus flambeaus de ma vie »
- « Ces flots jumeaus de lait époissi »
- « Comme le chaut, ou dedans Erymanthe »
- « Comme un Cheureuil, quand le printans destruit »
- Contre Denise Sorcière
- « De ses cheveus la rousoiante Aurore »
- « De ton poil d’or en tresses blondissant »
- « Dedans les Prés je vis une Naiade »
- « Dedans un pré je vis une Naiade »
- « Dieus, si là haut s'enthrône la pitié »
- « Du tout changé ma Circe enchanteresse »
- « D’un Ocëan qui nôtre jour limite »
- « D’une vapeur enclose sous la terre »
- « En escrimant un Démon m'élança »
- « Entre tes bras, impatiant Roger »
- « Franc de travail, une heure je n’ai peu »
- « Heureuse fut l'étoile fortunée »
- Hymne de L'Eternité (ðóñ-rus)
- « J'aloi roulant ces larmes de mes yeus »
- « J'irai toujours, & révant, & songeant »
- « Jamais Hector aux Guerres N'etait Lâche »
- « Je m’asseuroi qu’au changement des cieus »
- « Je parangonne à ta jeune beauté »
- « Je suis, je suis plus aise que les Dieus »
- « Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse »
- « Je vi tes yeus desous telle planette »
- « Je voudrais être Ixion et Tantale »
- « Je vous donne des œufs. L’œuf en sa forme ronde »
- « Jeune Herculin, qui des le ventre saint »
- « J’ai cent fois épreuvé les remedes d’Ovide »
- « L'An mil cinq cens contant quarante & sis »
- « L'onde & le feu, ce sont de la machine »
- « Las! sans la voir, a toute heure je voi »
- « Le boiteux mary de Venus »
- « Le ciel ne veut, Dame, que je joüisse »
- Le printemps
- Les Amours (1553). Poème 1. « Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte » (àíã-eng)
- Les Amours (1553). Poème 2. « Nature ornant la dame qui devoit »
- Les Amours (1553). Poème 3. « Dans le serain de sa jumelle flame »
- Les Amours (1553). Poème 4. « Je ne suis point, ma Guerriere Cassandre »
- Les Amours (1553). Poème 5. « Pareil j'égale au soleil que j'adore »
- Les Amours (1553). Poème 6. « Ces liens d'or, cette bouche vermeille »
- Les Amours (1553). Poème 7. « Bien qu’à grand tort il te plaist d’allumer »
- Les Amours (1553). Poème 8. « Lors que mon œil pour t’œillader s’amuse »
- Les Amours (1553). Poème 9. « Le plus toffu d'un solitaire bois »
- Les Amours (1553). Poème 10. « Je pai mon cœur d'une telle ambroisie »
- Les Amours (1553). Poème 11. « Je pai mon cœur d'une telle ambroisie »
- Les Amours (1553). Poème 12. « J'espere & crain, je me tais & suplie »
- « Les Elemans & les Astres, à preuve »
- « Les vers d’Homere entreleus d’avanture »
- « Mignonne, allons voir si la rose »
- « Mon dieu, mon dieu, que ma maistresse est belle ! »
- « Ni ce coral, qui double se compasse »
- « Ni de son chef le tresor crépelu »
- « Non la chaleur de la terre, qui fume »
- Odelette
- « Ores l'effroi & ores l'esperance »
- « Par destinée en mon ame demeure »
- « Par je ne sai quelle estrange inimitié »
- « Par un destin dedans mon cœur demeure »
- « Petit nombril, que mon penser adore »
- « Pour estre en vain tes beaux soleils aimant »
- « Puis que cet oeil qui fidelement baille »
- « Puissai-je avoir cette Fére aussi vive »
- « Qu'il me Soit Arraché des Tétins de sa Mère »
- « Quand au matin ma Déesse s’abille »
- « Quand en songeant ma follâtre j’acolle »
- « Que Gâtine ait tout le chef jaunissant »
- « Qui voudra voir dedans une jeunesse »
- « Qu’Amour mon cœur, qu’Amour mon ame sonde »
- « Seconde Aglaure, avienne que l'Envie »
- « Si doucement le souvenir me tente »
- « Si je trépasse entre tes bras, Madame » (ðóñ-rus)
- « Si l'écrivain de la mutine armée »
- « Si mille œillets, si mille liz j’embrasse »
- « Si seulement l'image de la chose »
- « Soeur de Paris, la fille au roi d'Asie »
- « Soit que son or se crespe lentement »
- Sonnet à Marie
- « Telle qu’elle est dedans ma souvenance »
- « Toujours des bois la sime n'est chargée »
- « Toujours l'erreur, qui seduit les Menades »
- « Tout me déplait, mais rien ne m'est si gref »
- « Un chaste feu que les coeurs illumine »
- « Une beauté de quinze ans enfantine »
- « Voici le bois, que ma sainte Angelette »
Êîëè÷åñòâî îáðàùåíèé ê ïîýòó: 298
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