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Анри-Огюст Барбье (Henri-Auguste Barbier) (1805-1882) «Rimes de voyage. 20. Retour à Florence» Au printemps, Boboli voit ses belles allées Se remplir de l’odeur de mille giroflées. Nulle part cette fleur au baume doux et fin Ne s’épanouit mieux que dans le vert jardin, Si bien que l’étranger, sous ses ombres fleuries, Errant et parfumé jusqu’en ses rêveries, Dit en se rappelant les richesses de l’art Que Florence renferme en son docte rempart : Oui, cette ville est bien une fille d’Athènes ; Comme sa mère, elle a deux grâces souveraines, La fleur qui porte aux sens un plaisir enchanteur, Et celle qui ravit et l’esprit et le cœur. Анри-Огюст Барбье (Henri-Auguste Barbier) Другие стихотворения поэта:
Количество обращений к стихотворению: 55 |
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Французская поэзия |