Ôðàíöóçñêàÿ ïîýçèÿ


ÃëàâíàÿÑòèõè ïî òåìàì
Ïîýòû ïî ïîïóëÿðíîñòèTop 100 ñòèõîòâîðåíèé


Æàí Ðèøïåí (Jean Richepin) (1849-1926)
ôðàíöóçñêèé ïîýò, ïèñàòåëü è äðàìàòóðã


«Doche»


Allons, ma fill’, l’est temps d’ briffer.
Au truc !… Quoi ? tu veux rentiffer ?
Gy ? Pas la pein’ d’êt’ si gironde ?
Alors, ta doch’, tu la gob’ pas ?
Faut qu’al’ tortor’. Nib’ dans l’ cabas.
Qui qu’a massé pou’ t’ fout’ au monde ?

Bon, tu chial’ ! Ah ! c’est pas palas.
J’ conobre l’truc ; ’l est dégueulas,
J’sais ben. Mais quoi ? Quand l’ gaviot gronde
On maquill’ pas tout comme on veut.
Mezig, dans l’temps, un peu, mon n’veu !
Qui qu’a massé pou’ t’ fout’ au monde ?

T’as pas d’ mec. Ça, c’est bath ! Merci.
Tout d’ mêm’, dis pas niort au persil.
Sans lui, bonsoir la bagu’naud’ ronde !
Moi j’ suis birbass’, j’ai b’soin d’larton.
T’as donc un palpitant d’ carton ?
Qui qu’a massé pou’ t’ fout’ au monde ?

T’as entervé. Chouett’, mon amour.
Va, la môm’, truque et n’ fais pas four.
Sois rien mariolle et à la sonde !
Pense à ta daronn’ qu’al’ t’aim’ tant.
J’vas prendr’ un’ prune en t’attendant.
Qui qu’a massé pou’ t’ fout’ au monde ?


Æàí Ðèøïåí (Jean Richepin)


Äðóãèå ñòèõîòâîðåíèÿ ïîýòà:
  1. Sonnet moyen-age
  2. Idylle de pauvres
  3. Sonnet grec
  4. Idylle sanglante
  5. Sonnet romain


Êîëè÷åñòâî îáðàùåíèé ê ñòèõîòâîðåíèþ: 33


Ïîñëåäíèå ñòèõîòâîðåíèÿ



Ôðàíöóçñêàÿ ïîýçèÿ